Ecrits sur la musique

Auckland. Un nom de lieu comme tant d'autres, mais qui par sa consonance particulière évoquait le lointain, et révélait surtout l'originalité de la pensée de Pierre.
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Daniel Steibelt fait partie de ces compositeurs happés par l’oubli dans les histoires de la musique. Le voyage de la réhabilitation sera long tant nous partons de loin, mais il a débuté depuis quelques années et va sûrement connaître une accélération bénéfique en cette année 2015, lors du 250e anniversaire de la naissance du compositeur.
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C’est une idée commune que celle d’un « salut par l’art ». Elle suggère que, par la grâce de celui-ci, la douleur ou disparaît, ou trouve une justification. On peut penser pourtant qu’une telle idée repose à la fois sur une compréhension erronée de l’art et sur une conception édulcorée de la douleur, et se montre ainsi doublement illusoire. Cette illusion, nous l’appellerons illusion artistique ; et nous nous demanderons comment il est possible de lui échapper.
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La France n’a pas manqué de musiciens pour chanter les horizons maritimes, et, par-delà une fascination qui rejoignait enfin, au XIXème siècle, celle des poètes et des peintres. Elle s’est parfois choisi ses chantres directement dans la grande famille des marins. Ainsi l’amiral Jean Cras, issu d’une prestigieuse lignée d’officiers de la Royale, rejoint-il Antoine Mariotte, Albert Roussel et dans une moindre mesure, entre deux Escales, Jacques Ibert.
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Depuis quelques années on assiste à un renouveau de la mélodie française. Ce genre est né vers les années 1850 et doit son origine à la romance, forme mineure en vogue jusqu´aux années 1830 du siècle romantique. La romance a évolué vers la mélodie lorsque les compositeurs ont choisi de mettre en musique des textes plus complexes et plus riches.
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La musique de piano des années 1800 à 1815 n’a peut-être pas encore reçu toute l’attention que sa diversité est en droit de lui mériter. Ces années-là sont en effet bien plus célèbres pour les batailles qui voient s’affronter les royautés conservatrices et la France révolutionnaire, républicaine puis impériale, que pour l’intéressante floraison musicale qui les accompagne.
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